Beam
of light after
the storm. It’s sharpness
close to short grass. Like mowing
pared-down. But tension remains. Slackness will be
offered to darkness. Lightness in discreet e-
vaporation. And lateron yet unde-
termined a “when”: a dark
tide erodes.
Coming
and gnawing the
day as fast as a galloping
horse. Last roars in the far-off.
Everything’s distance by now. Everything
bids
farewell. It’s declension in various signals so
as to avoid tongues and voices. So-
mething beyond human.
Escaping it’s
claws
Faisceau
de
lumière après l’o-
rage.
Son tranchant à même
l’herbe
rase. Sans pitié sans passion.
Simple
et dépouillé. Mais la tension demeure.
Le
laisser-aller sera offert à l’obscurité. La légèreté
dans
l’évaporation discrète. Et plus tard un
quand
indéterminé : la marée sombre
érode.
S’en vient ronger le jour
à la
vitesse d’un che-
val
au galop.
Derniers
grondements
dans le lointain. Tout
est distance à présent. Tout dit
l’au-revoir. Sa déclinaison en signes
pour que ni langues ni voix. Quel-
que chose au-delà de
l’humain. En de-
hors de ses
griffes.
I likw this one very much Beatrice. ..sharp edges and lucid beaming
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